Parfois il faut savoir laisser sa voiture au garage.
se sortir de la dépendance à celle-ci.
se sortir de la dépendance à celle-ci.
s'immerger dans la vie simple de tout un chacun
qui sont l’écrasante majorité des algériens et de ceux
qui constituent le peuple.
On y rencontre des gens et des situations parfois inédites et parfois une multitude de fois rencontrées
Mais l’expérience
cette "sucrerie" de la nature
ce "tracé de phéromone"
qui nous fait prendre les bonnes décisions
au nez et à la barbe de la jeunesse
souvent pantoise
et qui souvent se demande
comment a t-il fait.
on commencera par le réveil très tôt le matin
2h du matin.
et la marche vers la station de taxi .
Les taxieurs ne partent que si leur voiture est remplie
pas un de moins
justement celui dans lequel j'ai refusé de monter parce qu’il me proposait une place complètement à l’arrière
à fait descendre tout le monde pour leur demander de monter dans un autre taxi,il semblerait ne pas s’être entendu avec son collègue.
le débarquement commence ou plutôt le "transbordement",
chacun s'empressant de rejoindre sa place telle qu'occupée dans le premier surtout les plus convoitées celles de devant.
Cette peur de perdre sa place est innée chez nous.
au moment ou les passager furent tous à l’intérieur et moi avec, le chauffeur démarra : c'est bien je n'ai pas attendu du tout
rapide comme l’éclaire.
en plus mon voisin de gauche me céda le coté ""hublot"".
durant les premiers kilométres je n'ai fais que surveiller le tableau de bord de la voiture il n'est pas descendu a moins de 100km/h et parfois jusqu’à 120 km/h.
il n'a vraiment pas peur ce pilote.
à notre arrivée à notre destination je n'oublierais pas de lui demander la raison de cette témérité
pas peur des radars et du retrait de permis
il m'indiquera leur méthodes : les taxieurs.
.../...
qui constituent le peuple.
On y rencontre des gens et des situations parfois inédites et parfois une multitude de fois rencontrées
Mais l’expérience
cette "sucrerie" de la nature
ce "tracé de phéromone"
qui nous fait prendre les bonnes décisions
au nez et à la barbe de la jeunesse
souvent pantoise
et qui souvent se demande
comment a t-il fait.
on commencera par le réveil très tôt le matin
2h du matin.
et la marche vers la station de taxi .
Les taxieurs ne partent que si leur voiture est remplie
pas un de moins
justement celui dans lequel j'ai refusé de monter parce qu’il me proposait une place complètement à l’arrière
à fait descendre tout le monde pour leur demander de monter dans un autre taxi,il semblerait ne pas s’être entendu avec son collègue.
le débarquement commence ou plutôt le "transbordement",
chacun s'empressant de rejoindre sa place telle qu'occupée dans le premier surtout les plus convoitées celles de devant.
Cette peur de perdre sa place est innée chez nous.
au moment ou les passager furent tous à l’intérieur et moi avec, le chauffeur démarra : c'est bien je n'ai pas attendu du tout
rapide comme l’éclaire.
en plus mon voisin de gauche me céda le coté ""hublot"".
durant les premiers kilométres je n'ai fais que surveiller le tableau de bord de la voiture il n'est pas descendu a moins de 100km/h et parfois jusqu’à 120 km/h.
il n'a vraiment pas peur ce pilote.
à notre arrivée à notre destination je n'oublierais pas de lui demander la raison de cette témérité
pas peur des radars et du retrait de permis
il m'indiquera leur méthodes : les taxieurs.
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